Une nouvelle étude indique que si le réchauffement de la planète continue à ce rythme, la montée des eaux pourrait dépasser les 2 mètres en 2150. La bonne nouvelle, c’est qu’aucun des humains vivant actuellement ne sera concerné par cette catastrophe.
La dernière estimation de référence réalisée par le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) prévoit le pire des scénarios concernant l’élévation du niveau des océans. L’étude publiée lundi dans les compte-rendus de l’Académie américaine des sciences (PNAS) indique qu’il existe une probabilité non négligeable que la hausse des océans s’oriente vers une prédiction de 2 mètres en 2150.
La bonne nouvelle, c’est qu’aucun des humains vivant actuellement ne sera concerné par cette catastrophe.
« Il faudrait que les enfants qui naissent aujourd’hui ou dans les années à venir puissent atteindre l’âge de 130 ans pour espérer observer une telle montée des océans » ironise un chercheur du GIEC.
« Avec toutes les saloperies que l’on ingurgite, la pollutions des sols, de l’air et la recrudescence des cancers, les humains pourront déjà s’estimer heureux s’ils atteignent l’âge de 50 ans » rajoute t-il en se dépêchant se s’engouffrer dans son 4×4 pour aller attraper le prochain vol l’emmenant en Polynésie pour un voyage d’étude consacré à l’impact du réchauffement climatique sur la croissance des coraux.
Crédit image : For The Win Together
C’est pas demain la veille que ma baignoire sera pleine
Jacques Afaire de Chamonix
Je pense que si chacun y mettait du sien, le niveau des mers pourrait baisser. Il suffirait de réduire le débit des fleuves s’y jetant. Moi par exemple je ne tire plus la chasse en allant aux cabinets.
Vous avez entièrement raison, Lucien. Il faudrait interdire les baignoires et les remplacer par des douches, cela aurait un impact certain sur le niveau des océans. Votre idée de réduire le débit des fleuves est intéressante mais plus complexe à réaliser, cependant pourquoi ne pas construire des barrages aux embouchures de manière à ce que le fleuve ne se jette plus dans la mer ?