Rouen : un taux anormal de monoxyde de dihydrogène décelé dans l’eau du robinet

L’Agence régionale de santé (ARS) de Normandie et la métropole de Rouen ont diffusé lundi un communiqué de mise en garde quant à la situation du réseau d’eau potable dans l’agglomération.

Les derniers relevés effectués par l’organisme indiquent en effet la présence de monoxyde de dihydrogène dans des proportions particulièrement alarmantes.

Selon l’Institut de radioprotection et de sûreté chimique (IRSC), bras technique de l’Autorité de sûreté bactériologique (ASB), « le code de la santé publique fixe une référence de qualité de 100 molécules de MD2 (monoxyde de dihydrogène) /L qui ne représente pas une limite sanitaire mais un seuil qui, lorsqu’il est dépassé, entraîne une investigation complémentaire pour caractériser la contamination de l’eau ».

Mais « la présence dans l’eau du robinet de monoxyde de dihydrogène met en évidence un risque de contamination à des niveaux beaucoup plus élevés », argumente l’ASPTT.

À l’origine de ces publications, plusieurs internautes disant se localiser dans la région rouennaise et voyant un lien entre l’eau colorée du robinet et l’incendie de l’usine Lubrizol, qui a fait planer un nuage noir sur la ville, la semaine dernière.

Rappelons ici les risques liés à la contamination par du monoxyde de dihydrogène :

  • Son inhalation, même en faible quantité, peut causer la mort par asphyxie ;
  • Sa forme gazeuse peut causer de graves brûlures ;
  • Le contact prolongé avec sa forme solide provoque des lésions des tissus ;
  • A été trouvé dans des biopsies de tumeurs et lésions pré-cancéreuses, ainsi que dans les tumeurs de malades du cancer en phase terminale ;
  • Il serait le principal agent à l’origine d’œdèmes.
  • Parmi les symptômes résultant de l’ingestion de monoxyde de dihydrogène on peut observer une sudation et une miction excessives, et éventuellement une sensation de ballonnement, des nausées et vomissements, ainsi qu’un déséquilibre électrolytique corporel ;
  • Une ingestion excessive peut causer des effets néfastes pouvant entraîner la mort ;
  • Toutes les personnes étant entrées en contact avec lui sont mortes ou vont mourir ;
  • Il est utilisé comme adjuvant dans les vaccins ;
  • In vitro, il provoque l’éclatement des cellules humaines ;
  • Accumulation très importante de DHMO dans les nuages, pouvant se retrouver dans les pluies.
  • Est souvent associé aux cyclones mortels survenant notamment dans le centre des États-Unis ;
  • Des variations de température du monoxyde de dihydrogène sont soupçonnées de contribuer au phénomène climatique El Niño ;
  • Il est un élément principal des pluies acides ;
  • Il contribue à l’érosion des sols ;
  • Il est relâché en grande quantité par les centrales nucléaires, directement dans les rivières et les mers, ou bien dans l’atmosphère ;
  • Il peut être à l’origine de catastrophes écologiques diverses et variées lors d’intempéries ;
  • Sous sa forme gazeuse, c’est un puissant gaz à effet de serre ;
  • On le trouve en très fortes concentrations dans les océans mais il pollue aussi de nombreux fleuves et rivières ;
  • Sa forme solide peut provoquer de graves incidents, voire des accidents irrémédiables dans les transports maritime, automobile et ferroviaires;
  • Sa forme poudreuse, en particulier concentrée en plaques instables, peut être un obstacle au développement harmonieux des loisirs de montagne ;
  • Il provoque la corrosion et la destruction des métaux et des appareils électriques ;
  • Il augmente considérablement les risques en présence de conducteurs électriques sous tension ;
  • Il est utilisé dans des cas de torture ou lors d’interventions policières contre des manifestants ;
  • Il présente à la fois un caractère acide et basique ;
  • Il a un pH de 7, plus élevé que tous les acides ;
  • C’est un puissant solvant, largement utilisé dans l’industrie chimique ;
  • Pour les sujets dépendants, le sevrage de monoxyde de dihydrogène signifie une mort certaine.
  • Il est présent dans une grande quantité de produits alimentaires ;
  • On en trouve des traces dans le sang et les cheveux des enfants (alors qu’une surdose peut les tuer) ;
  • Tous les jeunes délinquants en consomment ;
  • Certains alcooliques le mélangent avec leur boisson pour prétendument en atténuer les effets (alors même qu’il trouble le pastis)

Crédit photo : Copie vidéo réseaux sociaux

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Un commentaire

  1. Le laboratoire qui a fait l’analyse est surement à la solde des crypto-complotiste, l’ARS est noyauté par des chlamydiaistes qui ne pensent qu’a faire la vérolution.

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