Jugeant qu’il était rabaissant et humiliant que les femmes arrivent, une fois de plus, en deuxième position avec le chiffre 2 attribué au début de leur numéro de sécurité sociale, des féministes engagées ont saisi la haute autorité pour l’égalité hommes-femmes afin d’exiger l’attribution du même chiffre 1 que les hommes.
Le numéro de sécurité sociale est un code alphanumérique servant à identifier de façon unique une personne dans le répertoire national d’identification des personnes physiques. Il est construit à partir de l’état civil transmis par les mairies et reste un identifiant fiable et stable conçu pour rester immuable toute la vie de l’assuré.
Malheureusement – à sa création en 1940 – l’architecture du numéro a été confiée à un homme. Forcément animé par des intentions sexistes et misogynes, ce dernier a favorisé (une fois de plus) ses semblables masculins en leur attribuant le chiffre 1. Les femmes arrivant, tout naturellement pour l’époque, en deuxième position avec le chiffre 2.
« Ces méthodes nauséabondes d’un autre temps ne sont plus acceptables aujourd’hui. Les hommes doivent comprendre que la peur a changé de camp aujourd’hui, nous revendiquons et exigeons nous aussi l’attribution du même chiffre 1 pour notre numéro de sécurité sociale » affirme déterminée Linda Choffre, une militante féministe particulièrement engagée.
« Et si ça pose un problème d’avoir le même numéro, on peut même imaginer permuter. Les hommes verraient comment ça fait d’avoir le numéro 2. Chacun son tour d’arriver en deuxième position » exulte la militante avec un large sourire difficilement dissimulable.
Saisie, la haute autorité pour l’égalité hommes-femmes déclare accorder la plus grande attention à cette demande légitime d’égalité.
ce sont les féministes qui commencent à être nauséabondes : je préfère le 2 moi, c’est comme ça. Elles n’ont rien d’autre à faire de leurs journées que de fomenter ces crétineries de niveau pitoyable ? Franchement, c’est consternant.
J’espère que le 3 sera pour les transgenre. Nous en avons assez d’être ignorés.