« La vie ne vaut plus la peine d’être vécue ». C’est avec ces quelques mots griffonnés sur un morceau de papier que Norbert, 49 ans, a informé ses proches qu’il allait commettre l’irréparable.
Dépressif, Il a décide de mettre fin à ses jours en empruntant le RER aux heures de pointe un jour de grève.
« Seuls ceux qui sont solidement attachés à la vie peuvent espérer survivre dans de telles conditions » confirme effectivement la direction de la SNCF qui a fortement déconseillé à ses usagers de prendre le RER dans ce contexte social.
Science Info Le site d'info scientifique totalement décomplexé

D’un autre coté c’était ça ou se jeter sous un métro qui marche et faire un incident voyageur de plus